Dans un récent et tragique événement qui a secoué la communauté, une nonagénaire a été mortellement attaquée par un chien. Cette affaire a pris une tournure encore plus complexe avec la mise en examen de la propriétaire du chien ainsi que de son apprentie. Cet article explore les circonstances entourant cet incident dévastateur, les mesures de sécurité autour des animaux potentiellement dangereux, et les implications légales pour les responsables de ces animaux. Accompagnez-moi pour plonger au cœur de cette histoire qui soulève des questions importantes sur la cohabitation entre les hommes et leurs fidèles compagnons canins.
L’incident tragique dans un cimetière du Gard #
Le drame s’est joué dans le calme paisible d’un cimetière à Canaules-et-Argentières, où une femme de 93 ans a perdu la vie suite à une attaque fatale par un chien. La victime, ancienne maire de la commune, rendait visite à la tombe d’un proche lorsque l’incident s’est produit.
Détails sur l’attaque #
Ce mardi fatidique, l’apprentie, une jeune femme de 18 ans, promenait trois chiens pour le compte d’un chenil local spécialisé dans l’élevage de dogues argentins, des molosses réputés pour leur taille imposante et leur force considérable. L’un des chiens, un dogue argentin, s’est malheureusement échappé de sa laisse et a attaqué la nonagénaire, lui infligeant des blessures mortelles à la carotide.
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Réactions et mise en examen des responsables #
La gérante du chenil, âgée de 43 ans, et son apprentie ont été rapidement mises en examen pour « homicide involontaire » par le parquet d’Alès. La gravité des faits a conduit à la détention provisoire de la gérante, conformément aux réquisitions judiciaires. De plus, un scandale supplémentaire a émergé lorsque il a été révélé que la scène du crime avait été altérée. La propriétaire du chenil, assistée de ses fils jumeaux de 19 ans, aurait tenté de retirer le chien incriminé du village avant l’arrivée des forces de l’ordre afin de minimiser sa responsabilité dans l’affaire.
La manipulation de témoignages #
Sous la pression de sa patronne, l’apprentie initialement a déclaré aux autorités que le chien était « errant ». Cependant, lors de sa garde à vue, elle a avoué que cette version des faits avait été fabriquée suite à un plan orchestré par la gérante du chenil pour détourner la responsabilité de l’attaque de ses épaules.